Tapuscrit du capitaine Martin (I, p. 3)
1. L’hôpital militaire est alors au pied de la côte Saint-Michel, à l’emplacement de l’actuelle gendarmerie mobile. En 1914, seul le gros œuvre était achevé, mais les pavillons n’étaient ni équipés ni meublés, selon l’historien Gérard Canini. Les bombardements de 1916 obligeront à soigner les blessés dans les caves sommairement aménagées : les équipes de soins arrivant et repartant avec leur propre matériel (Thellier de Poncheville).
- Type de document
- Tapuscrit
- Langue du document
- français
- Cote du document
- Ms. 819
- Droits
- Bibliothèque de la Communauté d'Agglomération du Grand Verdun ou CAGV
- Permalien
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